En jaune la boucle prévue par l'étang d'Artax et le Pic de Bassibié, en pointillés rouge notre parcours approximatif dans le brouillard.
Vendredi soir, tout va bien autour du feu : du jaune, du rouge, des grillades et nous voila prêts à philosopher sur comment tourne le monde.
Après une petite prune pour s'achever, la nuit est bonne dans la 306.
Tôt le matin, départ en direction de l'étang , donné en 2h30. Sans pousser outre mesure, on y est en moins de 2h.
Le départ est très joli sur un sentier pavé, entouré d'anciennes habitations recouvertes de mousse.
Les moutons aussi admirent le spectacle.
Nous voila arrivés à l'étang d'Artax. Les sommets alentour sont pris dans la brume.
C'est plus dégagé sur la droite, mais ça ne va pas durer.
Mais la brume est partout, le sentier mal tracé et nous suivons de vagues traces, plus sentiers de chèvres que de randonneurs, sans prendre de l'altitude.
Mais dame nature décide de nous faire une faveur et le rideau de brume commence à se déchirer, laissant apparaître le sommet du Bassibié tout près de nous.
Le Saint Barthélémy au loin, îlot perdu au dessus de la mer de nuages.
Au sommet du Bassibié.
Derrière nous, les 3000 ariégeois.
On grignote un peu puis on poursuit sur la très large ligne de crêtes pour retrouver Daniel, monté directement au Roc de Querquéou.
Photo souvenir avant un bon pique nique arrosé de rouge.
Peu à peu la mer de nuages se dissout, laissant juste une écharpe de brume autour des 3000.
L'étang d'Artax vu d'en haut.
Rien à rajouter.
Le vin du Ventoux est terminé, c'est l'heure de la sieste.
Tôt le matin, départ en direction de l'étang , donné en 2h30. Sans pousser outre mesure, on y est en moins de 2h.
Le départ est très joli sur un sentier pavé, entouré d'anciennes habitations recouvertes de mousse.
Les moutons aussi admirent le spectacle.
Nous voila arrivés à l'étang d'Artax. Les sommets alentour sont pris dans la brume.
C'est plus dégagé sur la droite, mais ça ne va pas durer.
Après avoir grignoté un peu devant la cabane, Michel et moi partons à l'assaut de la crête pour effectuer le tour des petits sommets.
Mais la brume est partout, le sentier mal tracé et nous suivons de vagues traces, plus sentiers de chèvres que de randonneurs, sans prendre de l'altitude.
On décide d'attaquer droit dans la pente, pour éviter de faire le tour du lac bien en dessous des sommets.
Ça monte fort sans trop savoir où on va, avec un passage un peu délicat où il faut poser les mains.
On finit par rejoindre la crête herbeuse et un sentier bien marqué. Lassés de naviguer dans le brouillard, on décide de le suivre dans le sens de la descente, tant pis pour les sommets invisibles.
Mais dame nature décide de nous faire une faveur et le rideau de brume commence à se déchirer, laissant apparaître le sommet du Bassibié tout près de nous.
On décide évidemment d'y monter et le ciel semble s'éclaircir pour de bon.
Le Saint Barthélémy au loin, îlot perdu au dessus de la mer de nuages.
Au sommet du Bassibié.
Derrière nous, les 3000 ariégeois.
On grignote un peu puis on poursuit sur la très large ligne de crêtes pour retrouver Daniel, monté directement au Roc de Querquéou.
Photo souvenir avant un bon pique nique arrosé de rouge.
Peu à peu la mer de nuages se dissout, laissant juste une écharpe de brume autour des 3000.
L'étang d'Artax vu d'en haut.
Rien à rajouter.
Le vin du Ventoux est terminé, c'est l'heure de la sieste.
3 commentaires:
Nous aussi, avec Manu, avons eu une pensé pour toi vers 12h30 du haut de notre pic des Rédouneilles :"là bas, au nord, Michel et ses potes doivent certainement casser la croute "...Mais peut être en étiez vous déjà à l'étape suivante : la sieste!
Il y avait de quoi faire la sieste ...
Les "Vieux" ont été plus raisonnables
Je suis grande fan de tes récits de rando:-))pour l'atmosphère intemporelle et les magnifiques photos!! dans une région que je ne connais pas vraiment.
Merci encore pour ce blog.
Gratienne
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