Vrai temps de Citadelles pour cette reco , ciel bouché, sol boueux, mais heureusement le 24 avril il fera beau.
On démarre de Lavelanet avec Bertrand sur les deux premiers kilomètres larges et roulants, à part la flaque où ça va bouchonner (foncez, vous finirez de toute façon avec les pieds mouillés) et la courte montée qui suit.
Premiers appuis fuyants sur le sentier boueux à travers bois. Courte montée et descente avant la Cathofe.
A la Cathofe, il ne s'agit plus de zigzaguer, sol humide partout.
Ici commencent les choses sérieuses avec la longue et raide montée vers les crêtes de Madoual.
Une montée qui fait peur !
Après une première partie assez grasse, on poursuit sur un terrain plus sec, toujours dans les bois, toujours en côte.
Puis le sentier se fait plus roulant en légère descente avant d'arriver en vue du château de Montségur.
Pour le 20 et le 40km, on continue tout droit.
Le 73km par ici à gauche le long du muret, direction Bélesta.
Nous poursuivons donc sur le tracé du 20 et du 40, en direction du château.
Suit une courte descente qui nous mène auprès des ruines de Péchiquelle. Passé le portail et l'épave rouillée, on reprend en légère montée.
Le 73km par ici à gauche le long du muret, direction Bélesta.
Nous poursuivons donc sur le tracé du 20 et du 40, en direction du château.
Suit une courte descente qui nous mène auprès des ruines de Péchiquelle. Passé le portail et l'épave rouillée, on reprend en légère montée.
Le 73km retrouve le parcours commun ici.
Le sentier est ici bien sympa, monotrace joueur et vallonné. On y trouve aussi des passages plus raides.
Puis on atteint le sentier pavé qui monte en deux ou trois lacets vers le col du Tremblement.
Nous y voici, au pied du château de Montségur. On voit à droite un autre coureur en reco également. On fait un peu connaissance et puis on trace vers Montferrier.
Le sentier est ici bien sympa, monotrace joueur et vallonné. On y trouve aussi des passages plus raides.
Puis on atteint le sentier pavé qui monte en deux ou trois lacets vers le col du Tremblement.
Nous y voici, au pied du château de Montségur. On voit à droite un autre coureur en reco également. On fait un peu connaissance et puis on trace vers Montferrier.
Inutile de monter au château, la vue est aujourd'hui bouchée.
Première belle descente jusqu'au Plancat où l'on traverse la route. Ici le 20km remonte à droite vers le ravito, pour le 40 et le 73 km, c'est tout droit.
La descente vers Montferrier est un régal : humide mais pas piégeuse, c'est un plaisir de dérouler sur le sentier en bordure du ruisseau.
Quelques sauts à effectuer...
...et quelques ponts à traverser (attention au piège, il y en a un caché...).
On arrive après quatre kilomètres de descente souple à Montferrier, lieu du ravito. Rien aujourd'hui...
Première belle descente jusqu'au Plancat où l'on traverse la route. Ici le 20km remonte à droite vers le ravito, pour le 40 et le 73 km, c'est tout droit.
La descente vers Montferrier est un régal : humide mais pas piégeuse, c'est un plaisir de dérouler sur le sentier en bordure du ruisseau.
Quelques sauts à effectuer...
...et quelques ponts à traverser (attention au piège, il y en a un caché...).
On arrive après quatre kilomètres de descente souple à Montferrier, lieu du ravito. Rien aujourd'hui...
On traverse le pont, on prend la rue à gauche pour attaquer une très grosse montée.
Grosse pente qui n'empêche pas la bonne humeur.
Après une courte partie sur route, on poursuit la grosse montée sur les pavés glissants.
Joli endroit, mais ça grimpe fort.
Ici il faut quitter le sentier cathare et prendre à droite.
Passé quelques habitations, on prend encore à droite un étroit sentier (balisé en jaune) qui monte pas mal.
Veste de pluie de sortie, ça mouille...
Suit une partie descendante où on peut envoyer pas mal.
Ensuite ça descend toujours, mais c'est pentu et très glissant, il faut savoir gérer ce terrain.
Suit un répit en forêt où l'on peut encore bien courir.
Puis nous arrivons sur un des monuments des Citadelles, la descente sur Silence. Une des plus chaudes à négocier avec celle qui précède Roquefort les Cascades.
Pour ceux qui étaient aux Templiers, ça glisse mais ce n'est pas "limite limite " comme la descente sur Massebiau sous la pluie.
Descente terminée, on traverse la route sous le pont au lieu dit Silence. Je vous rassure, il y aura ici une passerelle qui normalement devrait vous éviter de vous tremper.
Grosse pente qui n'empêche pas la bonne humeur.
Après une courte partie sur route, on poursuit la grosse montée sur les pavés glissants.
Joli endroit, mais ça grimpe fort.
Ici il faut quitter le sentier cathare et prendre à droite.
Passé quelques habitations, on prend encore à droite un étroit sentier (balisé en jaune) qui monte pas mal.
Veste de pluie de sortie, ça mouille...
Suit une partie descendante où on peut envoyer pas mal.
Ensuite ça descend toujours, mais c'est pentu et très glissant, il faut savoir gérer ce terrain.
Suit un répit en forêt où l'on peut encore bien courir.
Puis nous arrivons sur un des monuments des Citadelles, la descente sur Silence. Une des plus chaudes à négocier avec celle qui précède Roquefort les Cascades.
Pour ceux qui étaient aux Templiers, ça glisse mais ce n'est pas "limite limite " comme la descente sur Massebiau sous la pluie.
Descente terminée, on traverse la route sous le pont au lieu dit Silence. Je vous rassure, il y aura ici une passerelle qui normalement devrait vous éviter de vous tremper.
La suite :
2 commentaires:
Bien agréable ce parcours qui me rappelle bien les bons et moins bons moments vécus ces 3 dernières éditions...Du soleil le 24 avril, je n'ose y croire...
Aux citadelles,même en reco il y a une âme, c'est génial. Cette magie,elle vient de l'odeur du sentier,des nuances de la boue,du glissant de la roche "attention ne pas couper sur les portions bitumées" vivement la délivrance du 24.que je remette les pieds sur terre ou plus surement dans la boue...
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